Marguerite veut « grandir » avec son nouvel album qui vient de sortir

Marguerite, sortie tout droit de l’univers télévisuel et des scènes indie parisiennes, signe aujourd’hui une étape déterminante de sa jeune carrière avec Grandir, son EP qui vient de sortir le 26 septembre 2025.

Le premier EP de Marguerite est sorti

Marguerite, sortie tout droit de l’univers télévisuel et des scènes indie parisiennes, signe aujourd’hui une étape déterminante de sa jeune carrière avec Grandir, son EP qui vient de sortir le 26 septembre 2025. Six titres choisis pour déployer un univers personnel où la voix sifflante et les textures électroniques s’entremêlent avec des saynètes d’intimité, de rue et de rêve.

Après la Star Academy, elle s’est forgée une identité artistique propre, en poussant ses textes vers une maturité et une douceur qui parlent autant au cœur qu’aux oreilles. Son parcours, ses collaborations et les anecdotes liées à l’enregistrement donnent le ton d’un projet prêt à s’imposer comme une référence dans la scène française actuelle. Grandir n’est pas qu’un album, c’est une promesse: celle d’élargir son public sans renoncer à ce qui la rend unique.

Marguerite, parcours artistique et signature marquante autour de Grandir

Depuis ses débuts sur le petit écran jusqu’aux scènes plus intimes de la musique, Marguerite a cultivé une énergie buoyante et une curiosité musicale qui la placent aujourd’hui au croisement de la pop contemporaine et de l’indie sophistiqué. Son passage par la Star Academy lui a offert une exposition précieuse, mais elle a su transformer cette vitrine en une véritable plateforme de création. Son parcours artistique est marqué par une volonté claire: ne pas s’enfermer dans une image préfabriquée, mais développer un récit sonore personnel. Après la compétition, elle a signé sur un label prestigieux, un label qui compte parmi ses exemples les plus audacieux des dernières années, notamment grâce à des ponts entre des noms mythiques et des talents émergents. Cette signature a été présentée comme une concrétisation du travail qu’elle a poursuivi depuis la fin de l’émission: écrire, accorder, réécrire et tester des chansons qui puissent convaincre le public d’embarquer dans son voyage.

Pour comprendre l’ambition du projet Grandir, il faut aussi regarder les scènes où elle s’est déjà illustrée: des concerts intimistes, des apparitions sur grands festivals, et ce premier rôle au cinéma dans Le Mélange des genres de Michel Leclerc, qui lui a donné une autre sensibilité sur le rythme du récit et l’élan dramatique de ses jeux vocaux. Dans ce cadre, Marguerite évoque une voix qui refuse les clichés et préfère la nuance, avec des timbres qui croisent la douceur et l’audace.

Ses influences varient, allant des traces électro-pop des années 2000 à des élans plus organiques et sensibles, et elle aime jouer avec les contrastes: des ballades fragiles que viennent alimenter des boucles électroniques, des accords de piano qui s’oxygènent sous des percussions saccadées. Cette approche se retrouve dans les productions du nouvel EP, où l’on entend des textures qui évoluent au fil des titres et qui témoignent d’un vrai compagnonnage avec les producteurs et les musiciens qui l’entourent. L’histoire de Marguerite et son équipe est également racontée sur les réseaux et dans les médias musicaux, où elle est citée comme une preuve vivante que l’ascension d’un artiste peut être à la fois authentique et ambitieuse. Pour ceux qui suivent les coulisses, cela s’accompagne d’anecdotes amusantes: lors d’enregistrements nocturnes, elle avait l’habitude de noter des bribes de textes sur des post-its qui s’accumulaient autour du micro; ou encore de s’exprimer sur des microtubes et des casques, comme si l’atmosphère du studio devenait un partenaire créatif à part entière.

Dans ce cadre, la connexion avec le public est devenue centrale: Marguerite a toujours privilégié une communication directe et sincère, que ce soit sur scène ou dans l’intimité des répétitions. Pour les fans de musique et les curieux du processus créatif, son parcours illustre une transition réussie entre une carrière publique et une démarche artistique vraiment personnelle. Pour ceux qui veulent suivre son actualité, des exemples récents montrent que l’industrie musicale évolue vite, et que Marguerite sait saisir les opportunités qui s’offrent à elle, comme l’illustrent les analyses et les articles de sources spécialisées dans la sphère pop et musique indépendante. Madonna et l’évolution des albums majeurs dans l’air du temps et Feu Chatterton, preuve que l’expérimentation paye nourrissent ce genre de contexte partagé.

Lors de la phase préparatoire à Grandir, Marguerite a aussi évoqué les liens possibles avec d’autres univers artistiques et des collaborations qui pourraient accompagner le disque. Dans des échanges publics et privés, elle a souligné son intérêt pour des échanges artistiques qui permettent d’élargir les horizons sonores sans diluer son univers personnel. L’objectif est clair: toucher des publics variés, tout en restant fidèle à l’ADN d’une artiste qui parle d’elle dans un langage accessible et sincère.

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Grandir, six titres qui dessinent un univers et une promesse d’évolution

Le cœur du projet est centré sur six titres forts et cohérents: La féé, La Maison, Les filles, les meufs, snipeuse, les avions, et première dauphine. Cet ensemble fonctionne comme une partition où chaque morceau raconte une étape de la croissance personnelle et artistique de Marguerite. La féé ouvre l’album avec un chant qui oscille entre douceur et tensions contenues, une porte d’entrée vers un univers où les rêves cohabitent avec les réalités urbaines. La Maison témoigne d’un besoin de refuges et de souvenirs; elle tisse des images d’enfance et de sécurité retrouvée, tout en examinant les cadres qui nous protègent ou nous enferment. Sur Les filles, les meufs, l’autonomie féminine est au premier plan: le morceau s’affirme comme un cri de liberté et de solidarité, porté par un groove qui donne envie de lever le poing et de danser en même temps. snipeuse propose un tempo plus nerveux et des textes qui jouent avec les mots et les doubles sens, révélant une Marguerite plus intrépide dans l’emploi du langage et des métaphores. Les avions élargit le paysage sonore avec des textures aériennes, comme une échappée vers l’évasion et l’espoir. Enfin, première dauphine couronne l’ouvrage par une réflexion sur le leadership féminin et la transmission générationnelle, concluant l’écoute sur une note d’ambition mesurée mais ambitieuse.

Sur le plan musical, Grandir est le signe d’une évolution sensible: moins de formules répétitives et davantage de textures qui se superposent, des transitions plus fluides entre les pièces, et un goût prononcé pour des arrangements qui laissent respirer les voix et les mélodies. Le travail de production se montre soigné, avec une chair électronique qui ne surligne pas mais complète le timbre de Marguerite. Cette approche se retrouve dans les sessions d’enregistrement qui ont réuni des talents variés et des studios où l’on expérimentait des approches différentes, toujours avec l’objectif de préserver l’authenticité du récit. Les retours des premiers auditeurs ont été élogieux: beaucoup ont évoqué la sensation d’un voyage intime qui n’omet pas d’être fédérateur et dansant quand la musique l’exige. Pour celles et ceux qui veulent explorer en profondeur, on peut voir des parallèles avec des tendances de l’industrie actuelle, où les albums-concepts et les EPs courts gagnent en finesse et en exigence. Des critiques et des analyses qui suivent ce mouvement témoignent d’un intérêt croissant pour ce type de propositions, et Marguerite s’inscrit clairement dans cette dynamique.

Les ambitions autour de Grandir sont claires et immédiates: toucher un public plus large et préparer une tournée ambitieuse, avec des prestations scéniques où l’éclairage et la scénographie accompagnent les textes et les émotions. Marguerite s’est aussi engagée dans des projets de promotion qui misent sur le storytelling autour des six chansons, en alternant interviews, sessions acoustiques et contenus créatifs sur les réseaux. Citant des exemples récents dans l’industrie, on constate que les artistes qui savent mêler authenticité et ambition voient leur audience se multiplier: Cardi B et son grand retour et Feu Chatterton et son univers labyrinthique illustrent bien ce phénomène. Pour suivre les avancées de Marguerite, on peut aussi regarder comment d’autres artistes utilisent le cinéma et le storytelling visuel pour étendre leur présence, comme Asaf Avidan et son univers cinéma.

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Grandir en perspective: promotion, concerts et collaborations envisagées

La sortie de Grandir s’accompagne d’un plan promotionnel intensifié: concerts dans des formats variés, showcases dans des lieux intimistes et des déplacements rapides à travers la France puis à l’étranger. Marguerite a évoqué son désir de toucher un public plus large sans trahir l’élan personnel qui anime ses morceaux. Les échanges avec les fans se font de manière continue: avant même la sortie, les retours sur les avant-premières et les extraits ont montré une curiosité pressante et un enthousiasme contagieux, avec des messages du type “Ça va être incroyable” et “Trop hâte d’écouter tes musiques” qui résonnent sur les réseaux. L’artiste a aussi laissé entendre que des collaborations potentielles pourraient enrichir le paysage sonore du projet, en particulier avec des artistes qui travaillent sur des textures électroniques et des écrins acoustiques. Dans ce cadre, Grandir ne s’affirme pas comme un chapitre isolé, mais comme le cœur d’un voyage qui pourrait s’étendre sur plusieurs projets et supports, y compris des possibles bandes-son et des collaborations cross-genre. Pour les curieux de l’impact médiatique, l’actualité musicale de l’année 2025 montre une énergie nouvelle autour des EP et des mini-séries musicales: les conversations autour des sorties en format court se multiplient et les campagnes de promotion s’enrichissent de contenus audiovisuels divers et percutants. En parallèle, les premières réactions publiques parlent d’un public qui se retrouve dans les textes et les paysages sonores, et qui attend maintenant les concerts pour vivre l’expérience Grandir dans sa version la plus immersive.

En termes de contenu vidéo, deux rencontres indispensables permettent d’envisager des performances fidèles à l’esprit du projet. La première, une interview live qui explore le processus créatif et les choix de production; la seconde, une performance live en studio qui dévoile les arrangements et les échanges entre Marguerite et ses musiciens. Ces contenus enrichissent la dimension storytelling du projet et donnent matière à des analyses et des débats dans les médias musicaux. Pour rester connectés à l’actualité, on peut suivre les actualités musicales sur des plateformes qui détaillent les stratégies d’albums et les parcours d’artistes emblématiques; des exemples récents plastiquement visibles dans le paysage musical contemporain montrent comment des albums comme Grandir peuvent devenir des jalons intergénérationnels et inter-genre.

Échos et perspectives: retour des auditeurs et direction future

Les premiers retours des auditeurs et des professionnels de l’industrie ne cachent pas leur enthousiasme face à Grandir. Beaucoup soulignent l’équilibre entre une écriture qui gagne en profondeur et des textures sonores qui restent accessibles et immédiates. Le public a été touché par les moments d’intimité qui ressortent du disque, mais aussi par la façon dont les morceaux s’ouvrent et se dynamisent sans perdre leur sensibilité. Côté live, Marguerite a indiqué qu’elle souhaite proposer des concerts qui mêlent la simplicité de l’authentique avec des éléments scéniques plus travaillés: éclairages, projections et une scénographie qui raconte les six titres comme une suite logique de l’album. Cette idée de spectacle pensé comme une expérience fluide et immersive répond à une attente croissante des publics qui veulent des performances mémorables et des univers cohérents. Les premières critiques musicaux, qui suivent l’actualité 2025, insistent sur le fait que Grandir est une œuvre conçue pour durer et qui peut s’adresser à des fans de différents horizons, des mélomanes exigeants aux auditeurs qui découvrent la musique par curiosité.

Pour ceux qui veulent suivre les avancées et les prochains rendez-vous, Marguerite apparaît comme une figure clé de la nouvelle scène française: elle incarne une énergie qui relie les générations et les genres, avec une volonté claire de s’ouvrir à des collaborations transversales sans renoncer à l’identité qu’elle a bâtie. Dans ce contexte, les projets annexes et les collaborations éventuelles pourraient enrichir l’écosystème Grandir et prolonger l’expérience au-delà de l’EP. Les fans peuvent s’attendre à des contenus exclusifs, des sessions acoustiques et des performances en milieu urbain qui prolongeront l’élan du disque et créeront des ponts avec des publics variés, notamment à travers des événements et des festivals qui valorisent les artistes émergents et leurs univers.

FAQ — des questions fréquentes autour de Grandir et de Marguerite :

Quand est sorti l’EP Grandir ? Il est sorti le 26 septembre 2025 et comprend six titres, chacun construisant une étape du voyage personnel de Marguerite.

Quelles thématiques traversent les titres de l’EP ? L’EP explore l’autonomie, la résilience, les mémoires d’enfance et les rêves d’élévation, avec un équilibre entre intimité et énergie collective.

Quelles sont les ambitions de Marguerite pour cet album ? Élargir l’audience, proposer une tournée ambitieuse et explorer des collaborations qui pourraient enrichir son univers sans renier son identité.

Comment s’inscrivent les titres dans l’évolution artistique de Marguerite ? Chaque morceau vise à assumer une progression du son, passant d’une approche plus dense et électronique à des textures plus organiques et narrative, tout en conservant sa voix au premier plan.

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